«Il n'y a pas de belle mort. Il y en a qui sont belles à raconter. Mais celles-là, ce sont les morts des autres», écrivait Sacha Guitry.
Une bande d'amis, de l'Antiquité à nos jours. Ils ont recensé une bonne centaine de ces malheureux qui n'eurent pas le privilège de mourir en héros.
Rassemblées en dix chapitres - «Trop gourmands», «Trop snobs», «Trop radins», «Trop libertins»... -, ces destinées tragicomiques font l'objet d'un jubilatoire ouvrage.