Pygmald, qui tient de Meursault et de Woody Allen, a un chat dans la tête. Les docteurs Casimir et Rosenfeldt s´occupent de le soigner, aussi longtemps qu´il a de l´argent pour les payer. Napoléon, le chat, devient son meilleur ami, son double, son frère. Amour, vie et mort ; dans ce vaudeville surréaliste et absurde, on passe de Molière à Camus, du comique au morbide, de l´aliénation à la liberté. J´ai inventé le personnage de Pygmald quand j´avais dix-huit ans. Cette pièce est une étape dans son destin. Je sais que j´y reviendrai un jour...