Au détour des allées du Père-Lachaise, le narrateur découvre sur une plaque funéraire du columbarium un portrait photographique qui l’attire irrésistiblement. Il représente une femme énigmatique, coiffée d’un turban. Sous la photo, un nom : Leïlah Mahi et une date unique : 12 août 1932. Obsédé par cette vision, le narrateur décide de retrouver sa trace. Enquête littéraire, Leïlah Mahi 1932 est aussi une réflexion sensible sur la perte et l’inépuisable pouvoir de fascination des images.