Montpellier, mois de juillet, sous un soleil de plomb. Le corps d'une paisible retraitée, ou plutôt ce qu'il en reste, est découvert un dimanche matin dans son salon. Un petit tas de cendres et deux jambes intactes semblant miraculeusement rescapées d'un brasier infernal. L'hypothèse d'un phénomène de combustion humaine spontanée est aussitôt évoquée, plongeant les policiers chargés de l'enquête, dans une profonde perplexité. Un deuxième corps va les lancer sur la piste du Seraphim, l'ange de feu ou bien le Diable en personne ?