"On connaît le célèbre apologue chinois : Tchouang-tseu rêve qu'il est papillon, mais n'est-ce point le papillon qui rêve qu'il est Tchouang-tseu ? De même dans ce roman, est-ce le duc d'Auge qui rêve qu'il est Cidrolin ou Cidrolin qui rêve qu'il est le duc d'Auge ? Raymond Queneau brouille les pistes, et joue avec le temps, avec les mots, pour recomposer un monde plus beau, où pointent de petites fleurs bleues. Au lecteur alors de rêver à son tour..."