"Parce qu'il fallait former les volontaires, on a fait appel à ceux qui travaillaient dans l'ombre. J'ai répondu présent. Ce que j'avais à dire tenait en quelques mots : S'ouvrir sans questionner, écouter sans interrompre, entendre sans juger. Expliquer. Apaiser. Soulager. Je pensais, depuis longtemps déjà, qu'il n'est pas nécessaire d'être un professionnel pour accompagner celui qui choisit de mourir. Veiller fait partie de l'expérience humaine".