L'individu des Lumières a succombé à l'ère de la communication, de l'audiovisuel et aux subtiles propagandes médiatiques, victime de formules du marketing des agences et autres slogans de grands communicateurs de la globalisation. Il n'est aujourd'hui qu'un élément de la masse la plus manipulable qui soit, décrite avec acuité comme la « masse des individus » uniformisée, modélisée, consensuelle, silencieuse et béate.