Écrit dans la foulée de Élise en exil, Mon ami Constant ressortit au même registre dramatique. La même plume, précise, alerte et colorée qui nous valut le joyeux Toine Culot et le truculent grand Gusse se révèle ici capable de traduire le drame le plus bouleversant.
Ce livre suscita l'enthousiasme d'éminents correspondants : « Vous venez de me donner la rare joie du roman parfait » écrivait à son collègue et ami l'écrivain et critique Henri Davignon.