Merci pour la purée, pour Alain de Botton, pour le vin chaud, pour Léautaud, pour les Mustang de don Pedro, pour Flaubert et la menthe à l'eau, pour la pizza des pas perdus, les nuits anglaises de Dickens et les secrets du mousseux tiède.
Bien sûr que l'on dévore encore. Comment se souvenir sinon d'avoir pu dévorer?