» Article de 02.09.2015 » page 2

Francois Levesque - Une mort comme riviere

2010. Francis est maintenant dans la début de la trentaine et l'enfant cinéphile qu'il était autrefois est devenu un scénariste très en demande dans le milieu du cinéma. Contraint de retourner à Saint-Clo afin d'assister aux funérailles de sa tante Lucie, Francis prend connaissance du contenu d'un cahier que lui a laissé sa tante et dans lequel se trouve consigné un terrible secret qui pourrait bien être à l'origine des malheurs de la famille, et de ceux de Francis en particulier. Comme si cela ne suffisait pas, Francis n'a pas sitôt mis le pied en ville qu'une nouvelle mort suspecte vient secouer la tranquillité de la petite communauté moribonde...



Daniel Naud - Avis de décès - Les tribulations d'un croque-mort

Le domaine funéraire, souvent auréolé de mystère du point de vue du grand public, intrigue, attise la curiosité, inspire la peur ou crainte et suscite, à la fois, les plus vives interrogations comme les spéculations les plus éclatées. Tant de rumeurs, de mythes, de ouï-dire et même de légendes s'y collent encore de nos jours, et pour cause.



Francois Weert (2015) - Le chagrin des cordes

L'usine Forgibel, dans la banlieue de Bruxelles, est moribonde. Ses ouvriers sont en grève, et l'un des leurs vient de connaître une mort violente sur une machine. L'affaire est classée comme un cambriolage ayant mal tourné, mais Antoine Daillez, journaliste, n'est pas convaincu. Le défunt était son ami Gilles, « Gil » le rockeur, qui avait abandonné la musique et se consacrait corps et âme à l'usine Forgibel, expiant un passé que lui seul connaissait. Dans une lettre envoyée à Antoine peu avant sa mort, avec un vinyl de Sticky Fingers des Rolling Stones, Gilles exposait ses soupçons de malversations au sein de l'usine. Les morts s'accumulent autour de Forgibel, les ouvriers crient vengeance pour leurs emplois menacés, et une jeune femme orpheline a soif de sang. La clé de l'affaire se cache-t-elle dans le passé trouble de Gilles, le musicien déchu ?



David Nicholls - Pourquoi pas

Brian Jackson, dix-huit ans, quitte Bristol pour l'université. il se rêvait poète populaire à la sexualité folle, paré pour la vraie vie. Mais quand on est fauché, fan de Kate Bush et doté d'une acné monstre, aucune chance de séduire la it Girl du campus. A moins que sa culture G nourrie aux quizz télévisés et les conseils de la punkette acidulée Rebecca ne fassent des miracles ...



Voyages - Tomes I, II, III - Ibn Battûta

Mohammed ben Abdallah at-Tandji, que nous connaissons sous son surnom d'ibn Batouta, est né en 1304 à Tanger, la grande ville du nord du Maroc, située sur le détroit de Gibraltar, au carrefour de l'Europe et de l'Afrique, de la Méditerranée et de l'Atlantique. À l'âge de vingt et un ans, il quitte son pays pour aller accomplir le pèlerinage à La Mecque comme tout bon musulman qui en a les moyens. Jusque là, rien d'exceptionnel. Ce qui est moins banal, c'est qu'il ne rentre chez lui que vingt-huit ans plus tard, en 1353, après avoir sillonné le Moyen-Orient arabe, turc et iranien, après avoir brièvement visité la « corne de l'Afrique » orientale, après avoir longuement séjourné en Inde et être allé jusqu'en Chine. Après un premier retour au Maroc, il fait encore un voyage en Afrique noire, vers le fleuve Niger. Rentré définitivement dans son pays, il raconte ses voyages au scribe Mohammed al-Kelbi, un peu comme l'avait fait avant lui le marchand vénitien Marco Polo, une cinquantaine d'années auparavant. Son récit est moins connu que celui de l'Italien, qui est allé lui aussi jusqu'en Chine, mais constitue un témoignage à la fois important et captivant sur le monde musulman du XIVème siècle. Ibn Batouta meurt au Maroc en 1377.


" Dans ce lieu-là, nous vîmes la sangsue volante, que les indigènes appellent zoloû. Elle se tient sur les arbres et les herbes qui se trouvent dans le voisinage de l'eau, et quand un homme s'approche d'elle, elle fond sur lui. Quelle que soit la place du corps de cet individu sur laquelle tombe la sangsue, il en sort beaucoup de sang. Les habitants ont soin de tenir prêt, pour ce cas, un limon dont ils expriment le jus sur le ver qui se détache de leur corps ; ils raclent l'endroit sur lequel il est tombé avec un couteau de bois destiné à cet usage. On raconte qu'un certain pèlerin passa par cette localité, et que des sangsues s'attachèrent à lui. Il montra de l'impassibilité, et ne pressa pas sur elles un citron ; aussi tout son sang fut épuisé et il mourut. Le nom de cet homme était Bâbâ Khoûzy, et il y a là une caverne qui porte le même nom. "


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