René Crevel - Babylone
Dans Babylone, René Crevel joue avec les couleurs et leur rend leur liberté pour offrir au lecteur cet « arc-en-ciel » vers lequel tend « l'oeil hagard » du surréaliste. « L'échelle de la vision » espérée par Breton, Crevel la peint en rouge, un rouge qui résume la vie mais qui prend toute sa force en étant opposé au non-rouge, au gris, à des teintes insipides et fades.