Les amateurs d'histoire et de fantasy vont vibrer avec cette épopée au temps des croisades présentée dans un superbe coffret cadeau. Dans le sillage des romans d'Hervé Gagnon, Corinne de Vailly nous conte en parallèle les aventures extraordinaires de Philémon, jeune page de Jérusalem à la recherche de l'anneau du Diable, et l'histoire de sa lointaine aïeule, la fée Mélusine. Un enchantement. L'anneau du Diable Jérusalem, août 1174. La princesse Sibylle doit au plus vite rejoindre son père mourant. Chemin faisant, la jeune fille et sa petite escorte tombent dans une embuscade. Le complot se précise lorsque le page Philémon découvre qu'il est l'un des descendants de la fée Mélusine, dont il apprend les exploits au fil de sa quête : réussira-t-il à retrouver l'anneau du Diable ? L'Ordre de l'Épée Mer méditerranée, Automne 1174. Pour se soustraire à ses ennemis, Philémon embarque sur un navire en direction de Marseille, en compagnie de son cousin le chevalier Grégoire d'Irfoy. De nombreux événements viennent bientôt troubler leur voyage. Quel est donc cet Ordre de l'Épée dont Philémon découvre l'existence par un vieux parchemin ? Par les larmes et le sang Royaume de France, Hiver 1174. Après la traversée des redoutables Quatre-Montagnes, Philémon et son cousin Grégoire découvrent bientôt les Cuves, réseau de grottes profondes et mystérieuses, au fond desquelles la fée Mélusine aurait trouvé refuge. L'anneau du Diable se trouve-t-il au bout de cette route sinueuse entre secrets, mystères et légendes ? Le cri de la femme-serpent Royaume de France, 1177-1260. Après quelques années passées à Paris, à étudier la Tradition, Philémon se sent prêt à reprendre la quête du deuxième anneau de Mélusine. Mettra-t-il enfin la main sur le précieux bijou ? Pourra-t-il rentrer chez lui, sauver le royaume latin et retrouver son amour de jeunesse, Sibylle de Jérusalem ?

Le café est une boisson qui a fait l'objet de beaucoup de fascination ou cours des siècles. Il est consommé par 90 % des Français au quotidien. Pourtant nombre de consommateurs éprouvent un sentiment de culpabilité car bon nombre d'idées reçues véhiculent encore un a priori négatif sur le café, sans doute hérité des siècles qui nous ont précédés. Sur la base de nombreux travaux scientifiques très bien contrôlés, ce livre tente de faire le bilan de nos connaissances actuelles sur les effets du café sur la santé. Les études les plus récentes font état de nombreux effets bénéfiques de la consommation quotidienne de 2 à 4 tasses de café. Ainsi ce livre montre que le café ; augmente la vigilance et l'attention, la concentration, l'énergie mais peut en contrepartie perturber le sommeil chez les individus sensibles ; améliore l'humeur et procure une sensation de bien-être ; a un effet antalgique dans les céphalées et migraines ; maintient une meilleure cognition au cours du vieillissement ; réduit le risque de développer une maladie de Parkinson, d'Alzheimer, un accident vasculaire cérébral ou un diabète de type 2 ; n'est pas mauvais pour le coeur ; est protecteur dans le cancer du foie, du sein, de la prostate et de l'endomètre ; ne modifie pas notre degré d'hydratation ; peut être consommé à doses modérées au cours de la grossesse ; a des activités bénéfiques dans les sports d'endurance et d'équipe. Ce livre montre que le café peut parfaitement s'intégrer à un régime alimentaire sain et équilibré. Consommé à des doses raisonnables, le café peut sans risque continuer à ravir ses amateurs, sans arrière pensée ni culpabilité.

Connue et décrite depuis la plus haute Antiquité, la mandragore, dont la racine représente grossièrement la forme du corps humain, a longtemps hanté l'imagination des esprits simples et des apprentis-sorciers en quête de démoniaque. Posséder la mandragore, c'était avoir le plus puissant des talismans et, par là même, le plus grand des pouvoirs. On comprend pourquoi ce sujet ait pu fasciner l'auteur du Mystérieux Docteur Cornélius. Jamais le goût de Gustave Le Rouge pour les sciences ésotériques ― voire de l'occultisme ― ne s'est déployé plus à son aise que dans ces érudites variations sur la Mandragore magique.

Stalingrad est sans doute le tournant capital de la Seconde Guerre mondiale. Sa chute aurait livré à Hitler les pétroles du Caucase. Et quel symbole que de prendre la ville qui portait le nom du «petit père des peuples»... De ces enjeux résulte. un des plus gigantesques - et des plus atroces -affrontements militaires de l'Histoire. La Wehrmacht en ressortit brisée ; l'Armée rouge y forgea la légende d'un comrnunisme libérateur. Pour conter cette épopée, où l'héroïsme et la barbarie se côtoient à chaque page, l'historien britannique Antony Beevor a pu accéder, le premier, aux archives soviétiques, jalousement tenues secrètes jusqu'à la chute du régime, qu'il a confrontées aux archives allemandes ainsi qu'à d'innombrables témoignages. Opérations militaires, relations entre les hauts gradés et le pouvoir politique, souffrances quotidiennes des combattants des deux bords et des civils : à tous les niveaux, ce récit rigoureux et inspiré apporte des révélations et des éclairages nouveaux. Il nous fait revivre au jour le jour une bataille ou se joua le sort du monde.

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