Nom de code : Paul Anderson. Mission : surveiller l'enlèvement d'un acheteur d'armes djihadiste à Gibraltar. Récompense : un titre de noblesse et une retraite dans les Cornouailles. Objectif véritable : sa mise à l'écart ? Trois ans plus tard, Paul, rattrapé par cette affaire trop secrète, doit choisir entre sa conscience et sa loyauté de serviteur d'État. Toute vérité est-elle bonne à dire ?

Gaston Picard a 80 ans, le repas d'anniversaire qui a réuni une bonne partie de la famille, vient de se terminer et le vieil homme part s'isoler quelque part au beau milieu du grand jardin. Soudain, un craquement de branche, c'est Mathieu, son petit-fils qui vient s'asseoir à ses côtés. Après quelques échanges, Mathieu demande alors à son grand-père de lui parler de la guerre. Le vieil homme se met alors à raconter sa guerre à lui, celle qui débuta un jour de 1916 à Verdun et qui s'achèvera dans un domaine agricole au beau milieu d'une Algérie torturée et au bord de l'explosion. Trois guerres traversées avec toujours la même soif de justice et d'humanité. Trois guerres à se combattre bien plus qu'à ne combattre ses ennemis. Trois guerres à voir les feuilles tomber.

Ils sont frère et sueur. Lui, Robert, vit comme un ermite dans une, cabane au fond des bois. Quant à Erica, elle a hérité de la grosse fortune familiale et tient une boutique d'objets d'art. Tous deux sont hantés par le souvenir de leur mère, retrouvée morte dans son salol avec son amant, vingt-quatre ans plus tôt. Or, le meurtre odieux d'une jeune fille, commis dans les parages, ranime soudain les vieilles angoisses. Aucun suspect apparent, aucun indice, aucun mobile. Peu après, Erica disparaît dans de mystérieuses conditions. Existe-t-il un lien entre les deux événements ? La jeune femme s'est-elle enfuie ? La police, sur les dents, se persuade qu'elle court un grave danger et se lance à sa recherche avec fébrilité. Mais les indices pour la retrouver sont minces, très minces, d'autant plus que Robert, l'associable, reste étrangement muet.
Après L'Arracheur de visages, Michael Prescott signe un nouveau suspense où chaque seconde qui passe semble donner quitus à la mort. L'atroce vérité qui éclate aux dernières pages va révéler au lecteur de vieux secrets enfouis qui donnent froid dans le dos.

Et si l'origine du plus grand lac de la région de Cologne avait un rapport avec une prophétie réalisée en 1341 ? Et si cette même année, le chevalier de Kosigan avait réveillé des forces qui le dépassent ? Et si le destin de sa postérité se jouait cinq siècles plus tard dans la cave voûtée d'un bistrot parisien ? Et si les secrets révélés dans ce livre étaient dangereux ? Et qu'en les découvrant, vous deveniez complice...

Quatrième tome de la série à succès de fantasy historique, Le Bâtard de Kosigan, le Testament d'involution conclu ce premier cycle avec un final époustouflant. Fabien Cerutti enchaîne révélation sur révélation au sein d'une action trépidante de bout en bout pour nous dévoiler l'un des secrets les mieux gardés de l'histoire et peut-être l'un des plus renversants...

Une fois de plus il anticipe mes désirs, s'accroupit devant moi pour prendre en coupe mon visage dans ses grandes mains et m'embrasse sans aucune retenue.
Un baiser violent et sauvage tout comme lui.
Après de longues secondes, il me susurre au creux de l'oreille :
- Tu me rends dingue. Il suffit que tu me regardes, que tu me parles pour que j'aie envie de toi.
La suite se dispense de mots et laisse place aux actes. Nos souffles se font courts, saccadés, et nous continuons à échanger de langoureux baisers. Je parcours son corps avec mes mains ; ses cuisses, ses bras, son visage, son ventre ferme et sculpté. Je glisse mes doigts dans ses cheveux et me colle contre lui. À chaque passage sur ses abdominaux, j'effleure la partie la plus intime de son anatomie qui se dresse fièrement entre nous mais sans jamais le prendre en main franchement. Je joue à ce jeu plusieurs secondes et je l'entends grogner de frustration et de plaisir. Je repense à cet orgasme qu'il m'a offert il y a quelques semaines déjà et à celui de ce week-end, je suis persuadée que ce n'était qu'un début, ce qui va suivre ce soir sera encore plus intense.
Alors qu'il ne cesse de m'embrasser et de me caresser la poitrine d'une main à travers mes vêtements, je sens la seconde se frayer un chemin sous ma robe et entre mes jambes que j'écarte comme je peux pour lui faciliter le passage.