L'embrassant dans le cou, à la naissance de sa poitrine, je défis le lacet qui fermait sa robe sur le devant et entrepris de visiter chaque parcelle de son corps pour lui donner les réponses aux questions qu'elle se posait. Si ce corps réagissait à mes caresses et à mes baisers, c'est que la vie nous promettait encore de belles choses.
Nous fîmes l'amour ce soir là, pour la première fois. Je voulais mourir en elle. Elle voulait renaître et se sentir en sécurité, aimée, appréciée.
[...]
Je ne comprendrai jamais cette tare qui pousse certains hommes à vouloir mettre les femmes en cage. Comme si on pouvait empêcher les étoiles de briller...