De novembre 1814 à juin 1815 se tint la plus grande réunion diplomatique de l'histoire. Elle fut bien plus qu'un tourbillon de fêtes et de bals. Dans cette ample machinerie de 300 délégations, Talleyrand, représentant de la puissance vaincue, sut manœuvrer avec maestria. Mais les Cent-Jours vinrent tout compromettre et le Congrès reste, pour les Français, un mauvais souvenir. Ont-ils raison ?
Détaché du point de vue gallo-centrique, cet ouvrage est en vérité le premier à embrasser le congrès de Vienne dans toutes ses dimensions, en le rendant pleinement à son temps.
Il a obtenu le prix Pierre Lafue 2013.