Quand Lenz pénètre dans la chambre de sa mère, décédée la veille, l'émotion le submerge. La défunte est allongée sur son lit de mort. Il reste seul avec elle à la contempler, mais un élément étrange attire son attention. Ses doigts agrippent un petit tableau. La mystérieuse peinture représente un édifice. En arrière-plan, des montagnes noires. Il saisit l'objet, l'inspecte, avant de le retourner. Au dos figure une mention manuscrite « Samostan, Vujba ». Le lendemain, un linguiste confirme la traduction : monastère en slovène, suivi de la localité.