La nouvelle Double Je s'articule autour d'une incongruité liminaire : dans le bureau d'une jeune lieutenant de police, un individu torturé et hirsute, Ganel Todanais, vient d'avouer un crime. La victime ? Un artisan d'art de renom dont le » meurtrier » jure qu'il est une pure imposture, une sorte de vampire qui lui a volé ses idées pour les ors du pouvoir et la reconnaissance.
Sur fond d'art contemporain et d'artisanat d'art en lien avec les technologies de pointe, voilà un texte qui pose la question intemporelle du génie créatif et malmène une fois de plus le lecteur.