Poursuivant une réflexion menée avec Éloge de la marche, l'auteur souligne la façon dont le statut de la marche a évolué au cours des trente dernières années. Il montre ainsi que la marche s'impose aujourd'hui comme une activité de retrouvailles avec le corps et avec les autres.
« Marcher c'est avoir les pieds sur terre au sens physique et moral du terme, c'est-à-dire de plain-pied dans son existence. »