Des galoches magiques, qui réalisent les souhaits de celui qui les porte ? Elles vont avoir plusieurs propriétaires qui, tous, réaliseront leur souhait un peu fou (remonter le temps, voyager). Mais qui, ensuite, retrouveront leur réalité et leur vie avec, somme toute, beaucoup de plaisir... Et la lune ? Si elle racontait tout ce qu'elle peut observer du monde et des gens discrètement depuis le ciel, la nuit ? Elle est en Inde, en France, en Suède, à Venise, à Pompeï ou Copenhague, elle voit tout : c'est une succession d'images quasi cinématographiques, parfois très courtes, mais toujours pleines d'empathie et de poésie. Et ainsi, de nombreux autres contes... Andersen a l'art de faire parler et penser les objets, même les plus courants, comme une tirelire, un encrier, une fleur, une paire de chaussure ou un astre. Il sait leur donner vie et leur insuffler toute sa poésie personnelle et ses rêves d'enfants. Un plaisir renouvelé ! Avec cette dernière partie s'achève notre reprise des Contes d'Andersen issus de la trilogie traduite par Ernest Grégoire et Louis Moland, illustrée par Yann d'Argent : Contes danois, Nouveaux Contes danois et Les Souliers rouges et autres Contes. Dans cette partie : Les Galoches du Bonheur, La Plume et l'Encrier, Le Lin, Livres d'Images, La vieille Lanterne, La Tirelire, Les deux Coqs, Ogier le danois, Les Feux-Follets sont dans la Ville.