» Article de 27.11.2016 » page 12

Mortels trafics de Pierre Pouchairet 2016 - Prix du Quai des Orfèves 2017


À croire qu'il est plus important d'intercepter des « go fast » de cannabis que d'arrêter des tueurs...
Si la marchandise est perdue, rien ne vous protègera plus, même pas les barreaux d'une prison...
Une rumeur assassine s'en prend à l'innocence d'une famille.

La violence des trafics mobilise Stups et Crim' au-delà des frontières, dans le secret d'enquêtes mettant à l'honneur des tempéraments policiers percutants, parfois rebelles, toujours passionnés.

En France et à l'étranger, Pierre Pouchairet a vécu les procédures, les ambiances et les « milieux » qui inspirent ses romans. Dans ses livres éclate une vérité qui dépasse l'imagination, la vérité d'une vie engagée...


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Robert Littell - La Compagnie. Le grand roman de la CIA


Traduit de l'américain par Natalie Zimmermann.

En 1950, à Berlin, Harvey Torriti, dit " le Sorcier ", et sa nouvelle recrue, Jack McAuliffe, préparent le départ du transfuge russe Vichnievski pour les Etats-Unis.

Mais à la "Compagnie" - mieux connue sous le nom de CIA -, ses supérieurs semblent mettre en doute les capacités de leur agent, plus porté sur le whisky que sur l'étude des relations géopolitiques... Entre agents doubles et traîtres déclarés, personnages de fiction et personnages réels (Kennedy, Castro, Eltsine, mais aussi ben Laden), Robert Littell dévoile au travers d'un redoutable thriller politique un demi-siècle de notre histoire.

Et nous entraîne, sur les traces de ses héros, en plein cœur de la guerre froide, des chars soviétiques de Budapest à la Baie des Cochons, de l'assassinat du pape Jean-Paul P' au complot contre Gorbatchev... Un roman d'espionnage magistralement orchestré, qui place Littell aux côtés des maîtres du genre, John le Carré en tête.

" Eblouissant d'ambition, La Compagnie est à la CIA ce que Le Parrain fut à la Mafia." - Michel Abescat, Télérama

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CIORAN De l'inconvenient d'être né


Ouvrage publié en 1973 par le philosophe roumain Emil Cioran, De l'inconvénient d'être né , sous forme d'aphorismes fragmentés, livre des opinions concernant l'absurdité de la condition humaine.
Cioran pratique la désillusion et cultive dans cet ouvrage un goût du paradoxe et de l'autodérision. Sa pensée se fonde sur l'ironie et l'anéantissement des idées de progrès et de bonheur. Les plaintes de cet ouvrage bien que vaines, nous donnent une vision assez juste de la nature humaine, sur ce qui serait si on n'était pas. Ainsi selon Cioran: "nous ne courons pas vers la mort, nous fuyons la catastrophe de la naissance". Nous nous démenons, rescapés qui essayons de l'oublier. La peur de la mort n'est que la projection dans l'avenir d'une peur qui remonte à nos premiers instants. Le paradis serait alors un état prénatal sans incarnation.

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Joyeux suicide et bonne année de Sophie de Villenoisy 2016


« Célibataire, peu d'amis, pas de parents, pas de mec ni d'enfants, Sylvie est persuadée que sa vie ne rime à rien. Le suicide semble être l'option la plus alléchante. Elle est suivie par Franck, un psy, qui lui suggère des épreuves les plus farfelues les unes que les autres. Mais elle n'en démord pas : le 25 décembre sera le jour de son suicide, jusqu'à ce qu'elle rencontre une SDF qui va bouleverser toutes ses certitudes. Tour à tour hilarant et émouvant, Joyeux suicide et bonne année est un roman salutaire par les temps qui courent : un hymne à la vie, le tout raconté avec finesse et impertinence par Sophie de Villenoisy. Quelque part entre La vie est belle de Franck Capra et Bridget Jones, elle installe son style dès les premières lignes, un mélange savoureux d'humour et de tendresse qui réserve bien des surprises. »

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La longue marche (Jean-Pierre Mocky)


Mocky ? Un tendre râleur, un provocateur, un anar fauché qui bâcle ses films et dont les coups de gueule ont aidé les médias à snober l'œuvre pourtant cohérente, digne de Simenon, de ce réalisateur au style vif : une soixantaine de films et autant de courts-métrages, bel exemple de la notion du cinéma d'auteur indépendant. Jeune premier chez Antonioni, il signe Les Dragueurs en plein triomphe de la Nouvelle Vague. La farce noire éclaire les tares d'une France rancie, subvertit le cinéma commercial, invente le néopolar (Solo, 1970). Passant de la comédie contestataire au thriller social, avec quelques succès et nombre d'échecs, Mocky a pu compter sur la fidélité d'acteurs nommés Serrault, Noiret, Jeanne Moreau, Piccoli, Poiret, Lonsdale -, mais aussi l'estime de Godard et Resnais.
Sa vie ? Un roman aux rebondissements insolites qui ont nourri son imaginaire. Au fil de ces entretiens, il évoque son père juif tchétchène, sa mère catholique polonaise, son enfance à Nice, son mariage précoce avec la fille d'un colonel, l'enseignement de Jouvet, son activité de secrétaire de Stroheim et Jules Berry, ses stages auprès de Fellini et Visconti, sa découverte de Carné et Cocteau, ses rencontres avec Aymé, Renoir, ses projets avortés avec de Funès ou Tapie, son invisible film X, son admiration pour Godard et Tati, ou encore le succès d'À mort l'arbitre.

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