Après plusieurs missions humanitaires éprouvantes, Úrsúla accepte de remplacer au pied levé le ministre de la Justice en attendant les prochaines élections.
Elle découvre très vite que son administration n'est là que pour bloquer toutes ses initiatives.
Aussitôt après sa première intervention publique, elle devient la proie d'un cyber-harcèlement menaçant et doit engager un garde du corps. Elle est également poursuivie par un sdf agressif, qui sort d'un hôpital carcéral.
Catapultée dans ce nouveau monde, cible systématique d'attaques sur les réseaux sociaux, elle découvre aussi l'attitude faussement compatissante mais réellement méprisante de ses confrères politiques. Elle tente cependant de faire son travail tout en affrontant le stress post-traumatique résultant de ses missions humanitaires ainsi que sa culpabilité vis-à-vis de son mari et de ses enfants.
Elle est, certes, entourée de gens en lesquels elle a confiance, mais la trahison ne vient-elle pas toujours des plus proches ?